A la jeune pintade

Je te mets en capilotade
Si je te prends à batailler :
Assez longtemps le poulailler
A souffert ta rodomontade.

Je t’en préviens, jeune pintade,
Comme un bourreau, sans sourciller.
Je te mets en capilotade
Si je te prends à batailler.

Je te passe encor la boutade
Et ta façon de piailler
Qui m’empêche de travailler ;
Mais, à la première incartade,
Je te mets en capilotade !

Rate this poem: 

Reviews

No reviews yet.